Scaphandre de combat type 100 Constructeur : Tarsus Industries, Lobos Robotics, Spacetech, laboratoires de la Navy (assemblé dans les usines Tarsus Industries sur Arkengelsk)
Pays de fabrication: Empire Krypto-Arkilien
Source d'énergie : centrale a fusion nucléaire Arkilian Energy AEK-1157
Poids : 6 tonnes relatives a vide, 9 tonnes relatives avec armement.
Résistance : très importante
Couverture du corps : 100%
Amélioration musculaire : très importante
Spécificités techniques: -jet pack composé de dizaines de modules anti-G de petites tailles et de six de taille moyenne
-HUD affichant toute information utile
-connexion a Lynx
-système neuronal (implique temps de retard nul entre le corps et le scaphandre)
-micro compensateurs a gravité incorporés dans le scaphandre
-blindé contre les IEM et NRBC
-Camouflage caméléon
-détecteurs passifs et actifs
Armes embarquées et/ou pouvant être embarquées. -Emplacement A (côté droit) : Q240/gatling/Q 250/lance flammes
-Emplacement B (côté gauche) : Lance grenades auto/Lance flammes/fusil antimatériel Q150 (rare)
-Emplacement C (dos droite) : CAM de 40mm /Silo de trois missiles sol-sol/mer ou sol-air
Emplacement D (dos gauche) : lance grenades fumigènes/silo de 4 missiles sol-sol/mer ou sol-air/25 micro missiles
Emplacements E et F (cuisses) : SMG Q30 (bolters)
Emplacement G et H (poignets) : Lance dards (modèles variables)/vibrolames télescopiques ou rétractables
Emplacement I (facultatif) : vibro sabre
Compartiments de stockage : munitions, explosifs, bombes fléchettes, drones libellules…
Prix : 550 000 crédits
Description rapide : La décennie 2750 sera probablement l'une des grandes étapes de la course aux armements entre Etats au cours du XVIIIième siècle. La pacification relative de Seranon fait apparaître le pacte de Seran-Valen comme extrêmement puissant, chacun se lance dans un jeu diplomatique tandis que l'on assiste a un renforcement généralisé des appareils militaires dont les plus spectaculaires sont érikeans, apiens mais aussi krypto-arkilien et en Union. L'Empire Krypto-Arkilien, par le biais des laboratoires expérimentaux de l'Imperial Navy, avait repris un vague projet krypton d'exosqulette de combat a forte capacité s'inspirant du résultat que la République d'Aunadar avait réussit a mettre au point mais en les adaptant à la doctrine impériale. Les exo modèle ATLAS avaient déjà été produits à un nombre très limité d'exemplaires, pour des raisons de secret mais aussi techniques. L'accroissement presque démesuré des effectifs érikeans poussa, devant les insuffisances démographiques de l'Empire, à développer des armes devant accroitre la mobilité, la puissance de feu, et la survivabilité du soldat en campagne.
Le scaphandre de type 100 reprend un nombre important de technologies directement tirées de retours d'expérience en matière aérospatiale, notamment en ce qui concerne les navettes d'assaut et les bombardiers-intercepteurs semi furtifs rémora. Le scaphandre est blindé selon un procédé multicouche comprenant du gel balistique et des plaques de blindages nano-agencées ainsi que quelques fines couches de Kevlar et d'alliage hexanox-duranium. Un bouclier a faible capacité accroît également la protection. Le soldat, ainsi protégé, peut encaisser sereinement le feu d'armes de poing et de plusieurs types d'armes de soutien, mitrailleuses lourdes et lance grenades notamment. La survie a des tirs de canons léger de type Oerlikon ou à des armes anti-char est également possible, quoique plus hasardeuse et relative aux zones touchées ainsi qu'à l'angle de tir.
Des systèmes informatique ont permis d'accroître certains sens des porteurs, notamment l'ouïe et bien sûr, çà l'aide de macro jumelles intégrées au HUD, la vue. Les systèmes informatiques Lobos Robotics et senseurs actifs et passifs Spacetech permettent au soldat d'être pleinement renseigné sur son environnement. Le porteur du scaphandre dispose ainsi d'un détecteur de radar, d'un radar d'une portée de 50 Km, de brouilleurs actifs et de nombreux logiciels intégrés permettant de pirater les communications adverses. Doté d'une liaison neuronale, le type 100 se déplace aussi vite que son porteur, et l'activation des systèmes éléctroniques, modules anti-G et des armes se fait sur simple pensée, le concept du tir et oubli (fire and forget) est pleinement appliqué dans le cas de tir de missiles. "Un scaphandre ne se contrôle pas, il se porte et se maitrise" pour reprendre les propos de capitaine Orian, son premier "pilote d'essai".
Le type 100 est un exosquelette qui avec son blindage pèse plusieurs tonnes (du moins relativement, les modules anti-G peuvent être activé à faible puissance et ainsi annuler l'effet du poids sur le sol...), alimenté par une centrale a fusion Arkilian Energy AEK-1157, le scaphandre produit suffisamment d'énergie pour donner une force physique a son porteur largement supérieure a celle de n'importe quel humain normal, lui permettant de concrètement passer à travers les murs ou encore d'alimenter les dizaines de petits modules anti-G et les six plus important permettant au scaphandre d'effectuer des sauts de près d'un kilomètre (en atmosphère standard) et d'accomplir de véritable vols de courte durée sur des distances inférieures a 300 mètres. Sur le terrain, les scaphandres employés en groupe ne relèvent plus réellement de l'Infanterie mais plutôt de la cavalerie légère, bien que les G pack ne suffisent pas pour en faire une réelle cavalerie. Autre particularité, similaire aux exo d'Aunadar, le type 100 est dotée d'une main s'inspirant des bras articulés employés en chirurgie : elle est contrôlées par influx nerveux et se déplace sur des moyeux neurocommandés...
Le coût plus que prohibitif (plus d'un demi de millions de crédits pièces !) du scaphandre type 100 souleva bien des inquiétudes dans la presse et au Sénat sur les futurs budgets de la Défense, le soutien actif du PUSA sur toutes les questions militaires, permit de faire passer le projet après quelques quelques prototypes eurent été engagés dans des opérations d'abordage violents et aient montrés pleine et entière satisfaction.
Le type 100 entra donc en dotation au sein des unités d'Infanterie Mobile et de quelques unités des SSA, sa généralisation en tant qu'exosquelette règlementaire est actuellement hors de question, notamment en raison de capacités insuffisantes et d'une trop grande spécialisation. Le scaphandre a bénéficié de plusieurs améliorations et corrections de défauts de jeunesse depuis le début de sa vie opérationnelle, notamment l'ajout de patins magnétiques. Le scaphandre de combat type 100 s'est avéré pleinement satisfaisant lors de son engagement dans la révolution de Pergale et s'est montré tout a respectable et par certains aspects comparables aux exosquelettes apiens même s'il reste encore un long chemin a faire...
Mode de rentrée atmosphérique :Pour sa rentrée atmosphérique, le scaphandre est muni d’une protection aérodynamique se détruisant au fur et à mesure de la rentrée par vagues successives cela afin de créer des échos supplémentaires lors de la rentrée et donc de limiter la menace anti-aérienne. Lors de la destruction la capsule d’entrée largue aussi des émetteurs de contre mesures électroniques afin de leurrer les radars de tirs. Lorsque la capsule s’est enfin désagrégée, le soldat tombe à une vitesse de 900 kilomètres à l’heure, ses modules anti-G prennent le relais et le ralentissent suffisamment vite pour qu’il puisse arriver en toute sûreté au sol. Un soldat en scaphandre peut en vérité passer à l’attaque alors qu’il est encore à 500 mètres de haut : il suffit qu’il pense à se rétablir pour que le scaphandre l’aide à le faire ce qui lui permet de tirer et/ou de larguer ses premiers missiles avant même d’avoir touché le sol…