Le Système hospitalierLe système hospitalier krypto-arkilien est très développé. Tout est assuré par l'Etat, 81% des soins de santé sont gratuits et le ticket modérateur est assez important.
Le système d'éducation. Le système d'éducationLe rôle de l’arméeNous renvoyons ici aux missions de la
Krypto-Arkilian Imperial Aerospatial Navy et à la
Krypto-Arkilian Imperial ArmyLa sécurité nationaleLa sécurité nationale est assurée par deux institutions : La police et les services secrets, la première dépend du ministère de l’intérieur, la seconde d’un flou associant tout le monde et personne.
La Police :
Il existe différents types de Police :
-La police régionale qui à a charge la gestion des délits et effractions mineurs
-La Police Impériale : Cette institution (branche des services secrets) est chargée des enquêtes importantes et de toute affaire ayant franchi une région, cette force est composée d’officiers ayant tous au moins un diplôme universitaire ce qui assure la qualité de chacun. La Police Impériale contrôle également les Commandos de la Sécurité Intérieur (CSI). Ces brigades sont des groupes anti-terroristes et de lutte contre le banditisme. Les CSI sont entraînés au contrôle de foule, au maintien de l'ordre et aux opérations anti-terroristes. Les CSI sont habilités à l’emploi d’armes de guerre tout comme n’importe quel inspecteur de la Police Impériale.
Les services secretsNous renvoyons à
cet article La politique socialeLe droit de grève existe au sein de l'Empire ainsi que la liberté syndicale. Il existe cependant une loi du service minimum en vigueur tant dans le secteur privé que dans le secteur publique. Une manifestation n'ayant pas été autorisée ou ne se déroulant pas au lieu pour lequel une autorisation à été délivré est passible de répression policière. Un syndicat ayant permis ou étant impliqué dans une grève sauvage, ou ayant à répondre de destruction de biens publiques ou privés est passible de poursuite judiciaire.
La politique économique nationaleCelle-ci favorise le libéralisme et l'initiative privée ainsi que l'accumulation du capital. Cependant, les grands groupes d'Etat dominent encore l'économie et certains secteurs sont nationalisés et de monopole d'Etat notamment l'énergie.
L'économie est entièrement informatisée, tout payement se fait par signature rétinienne et digitale (les deux en même temps), on paye avec ses yeux et avec ses doigts, et dans certains endroits, avec son sang. En effet, le passeport biométrique est obligatoire dans les frontières de l'Empire. Tout résident temporaire ou personne détentrice d'un visa ou d'une autre forme de formule de résidence et de passage dans le pays. Le même personne se devra de faire enregistrer son argent liquide sur un compte temporaire réactivable 5 ans après sa création. Toute grosse rentrée ou sortie d'argent est surveillée.
Si dans la théorie, l'Etat contrôle tout et à accès à tout, il existe cependant des trous, la fraude fiscale existe mais à des degrés modérés.
La politique extérieurePolitique réaliste tendant à retrouver une certaine sphère d'influence et à se constituer un glacis d'Etats amis et/ou alliés afin de préserver les centres politico-économiques. L'Empire est actuellement partisan d'un certain multilatéralisme politique. Politique opportuniste par certains aspects, soutien aux entreprises et exercice actif des missions de souveraineté sur ses vois commerciales prioritaires ainsi qu'au sein de ses zones de juridiction exclusives.
Le fonctionnement de l’information Bien que puissante, la presse est fortement limité dans sa critique de l’Etat par la bienséance et un bataillon de loi punissant sévèrement diffamation et tentative de trouble publique, deux notions restant très floues dans la loi. La pluralité de la presse est cependant respecté l'on compte de nombreux organes de la presse d'Etat comme des éditorialistes indépendants particulièrement virulents dans certains domaines de la vie publique.
Le sentiment national dans le paysSera détaillé en temps et lieux.
La recherche scientifiqueL'Empire, fortement influencé par la guerre civile d'Arkilia a été obligé, pour des motifs d'efficience, de non dispersion des moyens mais aussi afin de ne pas s'aliéner définitivement la masse populaire fortement empreinte à gauche (qui entretemps a effectué un solide virage à droite), a été contraint de trouver un compromis entre libéralisme et mainmise de l'Etat ; bien que cette dernière semblerait l'avoir emportée au niveau global.
Coordonnant, supervisant et conduisant la recherche scientifique sur les problèmes sous-jacents à la conception, à la production et à l'utilisation des mécanismes et dispositifs civils et militaires, la Comission de Coordination À la Recherche Scientifique et Technique (CCARST) est un organisme d'Etat, destiné à effectuer un tri dans les programmes de recherche demandant des aides publics ou vivant sur ceux-ci. Et ils sont nombreux. La Comission a également un regard sur la recherche privée et les conséquences qu'elle pourrait avoir sur la société, elle fait office de représentant de a société à l'image d'un ministère public dans un tribunal.
La Commission a un rôle d'avis, de conseil et parfois (mais rarement) de contrainte. Elle coordonne les différentes recherches, suggère des fusion de programme, des divisions de ceux-ci, l'abandon de certains jugés improductif ou leur mise en ralenti. Son rôle principal est d'éviter la création de ce qu'on appelle communément une "usine à gaz" et donc éviter la dispersion des moyens financiers et de l'emploi des infrastructures. La Commission détermine ce qui pourrait être profitable, rentable, préférable et tente d'orienter la politique scientifique. L'avis de la Commission détermine généralement quels programmes seraient susceptibles de recevoir une aide publique.
Le directeur de la CCARST occupe un poste mineur au gouvernement élargi et est officiellement en charge de la politique d'évaluation scientifique.