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| Sujet: Missiles et armes balistiques - types généraux Jeu 19 Aoû - 14:02 | |
| Missiles et armes balistiques - types généraux
Nation : Allemagne Nazie Année de découverte théorique : années 1940 Découvreur : Equipe de recherche de Pennemünde; Werner Von Braun Première preuve tangible : 1944
Description :
Les armes balistiques sont des armes anciennes, dont le principe consiste à fournir un vecteur sans équipage à haute vélocité doté d'une charge destructrice visant à causer un maximum de dégats à la cible tout en disparaissant soi-même. En somme, il s'agit d'envoyer une charge contre l'ennemi aussi vite que possible. De plus, les types de missiles varient énormément, de même que les types de charges. On a noté quelques types prépondérants cependant dans les astronefs modernes. Cet article ne porte que sur les missiles spatiaux.
Missiles tactiques standards:
Les missiles tactiques standards sont les plus simples: envoyés depuis une rampe située sur un vaisseau, dans une station, à la surface d'un astéroïde, d'une lune ou d'une planète. Dotés de systèmes d'approche hautement sophistiqués, de contre-mesures et d'assistants de pénétration, ils ont pour but de percer les défenses actives ennemies, et de détonner le plus près possible de l'adversaire, afin d'endommager ce dernier par le biais de vagues à répulsion énergétique, d'armes nucléaires, de radiations, de sous-projectiles dans des cas plus rares. Relativement petits (moins de vingt mètres généralement), et disponibles en grand nombre, ils sont le principal vecteur de combat spatial de missiles. Exemple: Missile THOR-1 de l'UTE.
Missile espace-sol de siège:
Les espace-sol (ou esol) sont des unités particulières, spécialisées dans la destruction d'installation au sol. Plus petites encore que les standards (autour de 10 mètres, parfois moins), ils sont dotés d'une propulsion minimale, au profit de systèmes de dispersion MIRV et de capacités explosives ou répulsives supérieures. Le propre de ces missiles est de submerger la défense active au sol et de la détruire à terme, notamment lorsque couplé aux systèmes de visée haute-définition des navires de ligne ou des galiotes. Exemple: Missile Archimedes BEK-7 de l'UTE Voir détail: Missiles telluriques
Missile rechercheur actif:
Le missile à tête chercheuse est une vieille lune, et le combat spatial rend son utilisation difficile. Les astronefs se tirant dessus à des centaines,des milliers de kilomètres de distance, toucher directement l'adversaire est très difficile en raison de la densité des systèmes de contre-mesures, des boucliers ou encore de gestion par informatique des trajectoires. Les missiles rechercheurs sont dotés de systèmes informatiques de très haut niveau, de propulseurs supérieurs et des systèmes furtifs afin de parvenir à passer outre les barrières. Par contrecoup, leur charge utile est minimale, et généralement un toucher seul ne peut mettre hors d'Etat de nuire même une frégate, sans parler d'un navire de ligne. Exemple: Missile Eperon III MIRV-modifié de l'UTE.
Missile à distorsion:
Le missile à distorsion est relativement récent; ses premières utilisations datent de la guerre union-erikea. A ce moment, l'UTE développe un mécanisme léger, embarqué dans un missile, capable de simuler une surchauffe d'un réacteur hyperspatial de grand calibre. Les missiles à distorsion sont capable de voler en hyperespace à une vitesse supérieure à celle de la plupart des vaisseaux, car les systèmes de bord n'ont pas à utiliser de générateur anti-G destiné à compenser l'inertie subspatiale. Une fois sa cible atteinte, le missile explose devant elle. Un puits gravifique est crée par l'augmentation virtuellement infinie de la masse qui a lieu lors de la phase finale de la surchauffe, et "aspire" tout ce qui se trouve dans la région subspatiale de nouveau dans l'espace normal. C'est extrêmement dangereux, car lors de la transition, si la vitesse ne baisse pas assez vite, elle est encore supraluminique à la sortie en espace normal: or, cela engendre en espace normal la totale déperdition d'énergie et donc la destruction. Cela reste rare, mais possible. Mais de façon générale, l'utilisation d'une torpille à distorsion cause d'énormes dégâts. Elle est cependant assez facile à repérer du fait de sa propulsion disporportionnée. Exemple: Missile Samoj-V de l'UTE.
Missiles de croisière interstellaires:
Les missiles interstellaires de croisière (MIC) utilisent des systèmes de propulsions semblables à ceux à distorsion. Grâce à cela, ils peuvent voyager à des vitesses énormes entre les systèmes, et conservent une importance vélocité à la sortie. Leur taille est largement supérieure, afin d'optimiser la charge utile, qui se compose souvent de multiples charges thermonucléaires MIRVées, de charges explosives à l'hexanox ou alors de charges macro-incendiaires destinées à détruire des cibles fixes, en priorités des installations lunaires, astéroïdales et des stations spatiales. Marginalement, cette méthode est aussi utilisée pour bombarder des planètes, mais souvent la densité des systèmes défensifs y rend nécessaire l'attaque massive; un MIC seul ne possède que peu de chances de passer. Exemple: Missile Avalon/Amor-8 de l'UTE. - Portails liés à cet article:
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