Dispositifs ASCRI : Assistance Sattelite de Combat, Reconnaissance et Interception

Dispositif de Combat ASCRI

Nation : Etats-Unis d'Amérique pour les Premières Versions, Fédération Solaire Unie, puis Seconde République de Seranon dans sa version finale.
Année de découverte théorique : 2759 (Version Finale)
Découvreur : Equipe de Recherche des Chantiers d'Actinium
Première preuve tangible : 2759

Description: Le dispositif ASCRI est un dispositif de très haute technologie qui fusionne en réalité de nombreuses fonctionnalités, constituées en modules, et rassemblées pour des fonctions très diversifiées d'intelligence tactique. La mise en place de l'ensemble du dispositif sur une Légion de la République coûte la bagatelle de 20 millions de crédits. A ce jour, le dispositif est incorporé à l'ensemble de la flotte, mais n'a put être mis en place de manière totalement oppérationnelle qu'au sein des Légions de Vélites, qui sont celles qui en ont exprimé le besoin le plus direct.

D'un point de vue technique, le principe d'ASCRI est très simple : il répond aux éléments clefs "d'unicité de l'information". Cela veut dire que l'ensemble des données est centralisé dans un espace virtuel auquel tout les ordinateurs du dispositif connecté ont accès. Le principe est simple : ASCRI rend totalement obsolète toute opération de reconnaissance.

Le dispositif fonctionne à partir de l'orbite, ou les bâtiments de la flotte sont équipées de batteries de senseur (c'est le cas des Croiseurs Centaures, des Frégates Vigilance, et des Destroyers Thurini et Liberté, mais aussi des Portes-Avions aériens "ICARE". Chacun de ces bâtiment est appelé "Centre de Coordination ASCRI"). Ces senseurs sont braqués en direction du sol et comprennent des détecteurs de chaleur, de battements cardiaques, de rayons X, des senseurs sensibles aux émissions energétiques, bref, un ensemble de scanners et de caméras à très haute résolution dont la fonction est de balayer en permanence le champ de bataille pour que toute les équipes qui y sont engagés soient en mesure de disposer d'un accès permanent à l'information.

Cet aspect collecte de données centralise ensuite l'ensemble de l'information sur des tables holographiques d’État Major qui référence en temps reel l'évolution des mouvements de troupes alliés (identifiées par transpondeurs), et ennemies ou "inconnues" (dont on ne peut identifié le transpondeur, ou qui ne répondent pas à un code Seranien. Les Balayages extrèmement poussés que sont en mesure de fournir les frégates vigilance peuvent même fournir une quantité extrèmement importante d'information sur la nature des contacts grâce à des détecteurs de très haute résolution. Cette carte d’État Major, qui évolue en temps réel, permet alors toute une série d'action particulièrement intéressantes pour un général en campagne : du suivit des troupes au guidage orbital de missiles (dont les missiles DIME, dont Seranon fait un usage presque abusif). Le commandement peut surveiller la bataille en permanence, prévoir les coups de l'adversaire, et donc dispose d'un avantage quasiment permanent à condition de parvenir à le préserver (car la très forte circulation des données d'ASCRI est aussi son point faible).

Enfin, les hommes de troupes disposent également de l'information ASCRI grâce à des serveurs dit "Voltigeurs" qui accèdent à l'ensemble de l'information, mais peuvent également la modifier lorsqu'elle s'avère faussée ou lorsqu'elle fait face à des brouilleurs terrestres.

Pour résumer ce qu'est le dispositif ASCRI, c'est un outil de collecte, de rassemblement et de mise à jour permanente de l'information, ainsi que de partage et de redistribution. Sa visée est de garantir l'autonomie des troupes sur le champ de bataille, et de pleinement rentabilisé l'expérience acquise par les troupes de terrain Seraniennes pendant les dernières années de guerre. Sa généralisation à l'ensemble des forces gouvernementale fait partie des objectifs de l'Etat Seranien dans le cadre de la réforme de l'Armée de Terre qui est actuellement en discussion dans les think thank du Front Populaire.