Grec seranien

Parlé en : République seranienne essentiellement, dans les diaspora seraniennes à l'étranger.
Locuteurs : ~100 millions
Issu de : Grec ancien attique principalement, quelques emprunts à la koinè au Grec moderne.
Alphabet : grec
Type : flexionnelle
Structure sujet-verbe-complément ? : oui

Description : devant la progression du Latin au sein des classes moyennes, les classes supérieures seraniennes très jalouses de leurs spécificités et d'hermétisme ont adopté le Grec ancien comme langue auxiliaire.

Réservé dans les faits à très peu de monde (<3% de la population se compose de locuteurs courants), le Grec est très rarement parlé pur : s'il existe dans la littérature et à l'écrit une forme seranienne du Grec qui est essentiellement attique en faisant quelques emprunts de vocabulaire en cas de lacune de la langue ancienne à la koinè ou au Grec moderne, la langue parlée est en revanche un savant mélange de Grec ancien et de Latin seranien qui serait pratiquement inintelligible à quelqu'un qui n'aurait pas grandi dedans sauf à maîtriser parfaitement le Latin et le Grec séparément.

Cette langue, à l'inverse du Latin seranien, n'a connu pratiquement aucune simplification puisque son but évident quoiqu'implicite est d'exclure qu'on l'apprenne autrement qu'au berceau. Langue habituelle des Conseils ministériels, elle a subi un net recul à cet égard avec l'accession au Consulat pour la première fois de quelqu'un qui ne la parle pas en la personne de Terry Alexander, provoquant par réaction la multiplication des articles, interventions et tribunes en Grec par hostilité au Consul.