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 Arts martiaux modernes

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Union
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Union


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MessageSujet: Arts martiaux modernes   Arts martiaux modernes Icon_minitimeSam 1 Mai - 19:45

Arts martiaux modernes

Depuis la fin du XXIIème, la dispersion des humains dans de petites colonies isolées sur des mondes peu terraformés et hostiles, avec la présence de carcars esclavagistes autour, et la faible quantité d'armes et d'équipements de défense proches, ont conduit au développement d'arts martiaux plus ou moins originaux.

Arts martiaux tarimiens

Sur Tarim Secundus, colonie du système Al Gul, quatorze mille colons musulmans se sont installés sur le continent tempéré, et ont commencé à installer leurs villes. Néanmoins, à partir de 2497, les Botméliens et les carcars attaquent régulièrement la jeune monarchie de Tarim, qui est en plus déchirée par les tensions inter-religieuses. Une des sectes sunnites invente en 2412 le Moujj, un art martial basé sur des coups rapides enchaînés, très offensif, le plus souvent avec comme arme une série de petites piques fixées par une chaîne au bras du combattant, qu'il peut lancer alternativement en avant, rendant par leur mouvement rotatif autour de l'avant-bras toute contre-attaque potentiellement plus mortelle encore que l'attaque. Très efficace en combat de rue, et dans les marais de Tarim, elle a permis notamment de repousser plusieurs attaques-surprises de carcars. Mais elle a également accru le chaos ambiant sur Tarim, contribuant finalement au putsch baasiste de 2568 qui a renversé la monarchie, et crée une république laïque et unitaire. Découragé, l'enseignement du Moujj a grandement décliné - malgré un regain durant la première guerre mafieuse.

Arts martiaux pergamites

Directement inspirés des arts martiaux dravidiens, notamment de l'Antakhari et du verumkai, les arts martiaux pergamites sont un chef-d'œuvre d'auto-défense basé sur l'utilisation d'un grand nombre d'armes - des poings aux fusils à impulsion en passant par l'urumi, l'épée d'acier indienne flexible, qui, frappant comme un fouet, s'avère redoutable dans des contextes de combat au corps à corps comme contre carcars et forces de la Myrotech - lors d'une invasion fameuse de pergame en 2624. Néanmoins, si le Moujj est accessible à n'importe qui, l'Antakhari de Pergame reste très élitiste; il faut d'abord passer la cooptation, puis une série d'épreuves impitoyable, ce qui a contribuer à donner à ces arts martiaux une réputation sulfureuse.

Arts martiaux vénariens

Ils sont nés sur Nouvelle Jerusalem vers l'an 2500, sur le petit continent isolé de Vénarie. La planète est alors déjà en proie à une grande anarchie, et un petit groupe de colons ayant fuit le colon central pour trouver refuse sur l'hostile terre entreprend de reconstruire un lieu de vie. Néanmoins, les attaques régulières des communautés du continent voisin, et des pirates spatiaux, les forcent bientôt à devoir se défendre. Mais l'absence d'armes font qu'ils commencent par se replier dans les forêts et les collines centrales, et là développent un art martial sur le combat de forêt, avec des arcs taillés dans le bois des ifs de la région. Mais rapidement, plus qu'une simple technique d'archerie, l'In-To est lentement devenu un art de vivre, basé sur l'harmonie avec la nature, le contrôle du corps, de l'esprit, et un certain sens du spiritualisme. Moins sectaire que d'autres, mais sans être grand public, il a fait quelques adeptes dans les grands mondes; sur Christiansa, il existe une fédération sportive d'In-To.

Miséricorde

La Miséricorde désigne ici l'art du combat avec une miséricorde à froid (MF). La miséricorde à froid est une arme qui, à l'intérieur de sa lame de titane, continent des systèmes à hexaliquide qui en diminuent la température jusqu'à -150 Celsius, rendant la lame supraconductrice. Une éraflure avec cause donc la mort par électrocution. La lame elle-même est longue et étroite, extrêmement acérée: elle est faite pour percer les armures légère, et peut également mettre HS l'électronique des armures plus lourdes. Développée sur Pergame pendant la période d'occupation Fédérale de la planète, afin de lutter contre les fédéraux en lourdes armures, elle se répandit très vite, d'autant plus que sa philosophie d'usage, préconisant l'attaque par derrière et la mobilité au détriment de la protection, est simple à comprendre, quoique difficile à mettre à exécution une fois le mortel objet en main, sans entraînement. Aujourd'hui, le miséricorde à froid est assez répandue dans les zones neutres, même si son prix prohibitif la rend peu accessible.
Quant aux combattants de Pergame, ils sont toujours les meilleurs en matière de Miséricorde, même si sur Seranon, Krypton et Lüderitz des écoles concurrentes de qualité se sont développées.

Kaam Nomade

Le Kaam nomade est un OVNI des arts martiaux, car son degrés de ritualisation et de sophistication est tellement élevé que pour un Kmurr - étranger - il en devient incompréhensible. A l'origine et le plus souvent appliqué pour laver l'honneur - le Jamen - d'un nomade s'estimant offensé, il s'effectue sans armures ni armes à jet dans sa forme originale. Les deux combattants ne peuvent utiliser que des armes blanches courtes. Pendant vingt-quatre heures avant le combat, ils doivent jeûner et méditer dans le temple des Ancêtres, se purifier. En arrivant sur place, dans la salle du Kaam, ils doivent plonger en même temps leurs lames dans le Bassin des Larmes, avant de prendre le thé ensemble, en présence du khagan et de ses atabegs, qui, à la fin du thé, demanderont aux adversaires d'oublier leur vendetta et d'accepter que l'honneur soit lavé autrement que par le sang. Si l'un d'eux refuse, ils doivent s'avancer au centre de la salle, et commencer le combat. Les coups et attaques au visage et sur les pieds sont interdits. Le combat prend vite une tournure ultra-rapide: la plupart des nomades-guerriers, donc ceux sujets à des Kaams, disposent d'une formation physique depuis le plus jeune âge, et de plus, leur grande taille et leur vivacité font que le combat ne reste jamais statique. Les attaques sont portées à grande vitesse, essayant d'atteindre d'abord les bras, puis la poitrine - c'est l'ordre consacré, attaquer d'abord la poitrine est irrespectueux -. Le combat est terminé lorsque l'un des deux abandonne - où est mort. Mais le plus souvent, le vaincu abandonne, car le simple fait de combattre restaure l'honneur, et la défaite face à un autre nomade n'est pas un déshonneur majeur.
Mais au-delà de l'école très fermée du Kaam rituel, les nomades font appel à nombre de techniques de combat dans leurs attaques conventionnels contre les kmurri. La lame courbe - le katara - des nomades n'est pas la seule arme alors: ils font appel à leur pistolets à impulsions, aux stylets qu'ils portent toujours sur eux, et à des techniques de combat à arme nue très évoluées, rendant un nomade redoutable. De plus, ils sont experts en survie, et ont intégrés de nombreux savoir-faire techniques: ils sont capables d'assembler selon les pièces disponibles une arme à impulsion, une arbalète ou un arc, et d'être mortels avec.
Peu d'étrangers ont eut accès à un tel savoir, entourant d'une aura de mystère ces capacités.

Shakem

Le Shakem désigne plusieurs choses. A l'origine, c'est le sport de combat du lancer de centrifugeurs, surnommés "shakems". Les centrifugeurs étaient des objets de pseudo-métal capable de vol magnétique, en forme de demi-cercle, qui, d'amusement pour enfant peuvent, par un lancer agile, se transformer en redoutables terreurs volantes. Cela date des années 2210; depuis le concept a été repris, d'une part par les naturalistes, qui, reprenant également l'idée du chakram indien, ont crée des anneaux acérés volants, guidés par les systèmes neuraux de leurs combinaisons environnementales. Les naturalistes ont longtemps étés la terreurs des forces les combattant, notamment en raison de cette arme silencieuse et dévastatrice au combat dans des espaces naturels. Et d'autre part par les habitants du continent équatorial de Christiansa. Ceux-ci, au lieu de repartir dans le sens de l'anneau, ont développé et étendu le demi-cercle: dorénavant dépliable un peu comme un éventail, le shakem est au repos une barrette de métal d'une trentaine de centimètres de long, et devient en un mouvement un grand trois-quarts de cercle dont la voilure est de très faible épaisseur (moins d'unun millimètre), faite en polymère solide, et disposant de systèmes électroniques et anti-G miniaturisés à l'extrême. Grâce à cela, ils peuvent être lancés comme des boomerangs, et revenir, même sur de très grandes distance, non sans avoir coupé au passage tout ce qui s'est mis en travers de leur chemin, grâce à leur bord de duracier affuté comme un rasoir. Avec de l'entraînement, un individu armé d'un Shakem peut devenir un tueur très dangereux, et la Sûreté en emploie quelques-uns. Ce type de Shakem est également utilisé par les nomades de la Horde Silencieuse, qui privilégient l'aspect "lancer" à l'aspect "corps à corps".

Arts martiaux skeïbiens

La pratique des arts martiaux dans l'ancienne colonie terrienne est principalement liée à la situation de guerre perpétuelle qui s'est imposée avec l'indépendance. Il existait ainsi un noyau de pratiquants d'arts martiaux dans les différents états, notamment dans le Duché d'Ostwald où la pratique du Sambo, un art martial russe remontant à l'ère soviétique, était courante dans les enseignements scolaires et militaires. Avec les intrusions carcarans sur Mazaharpet et la guerre qui s'en suivi, la République Royale créa le GROM, corps militaire regroupant les meilleurs régiments et hommes de l'Armée Royale, avec comme objectif de les utiliser dans des opérations à l'intérieur même du dispositif ennemi. Ce corps d'élite recevra, durant sa préparation, un entrainement intensif avec des conseillers étrangers, notamment dans la pratique d'arts martiaux pour rivaliser avec les aptitudes naturels des carcars dans le Close Combat. Ces derniers optèrent pour l'apprentissage du Systema et du Samoz que pratiquaient certains fusiliers algans. Ces arts martiaux, dont l'origine remonte aussi à l'ère soviétique et l'existence était secrète, auront la réputation d'être efficace et d'être utilisé dans n'importe quelle condition, avec un minimum d'entraînement de la part du pratiquant. La pratique du Systema et du Samoz sauvera plusieurs centaines d'hommes par les réflexes biomécaniques acquis.

Avec la fin de la Guerre carcaran, la pratique de ses arts martiaux continua au sein du GROM, puis dans certaines unités de la Légion Carcaran (78ème Régiment d'Assaut), permettant le développement d'un Skeïbian Systema qui aura la réputation d'être extrêmement létal, avec l'ajout d'armes blanches et d'armes à feux (Principalement des armes de poing) dans les décennies suivantes. Il existe, selon certaines sources officieuses, une branche du Skeïbian Systema spécialisée dans les combats avec des éléments robotisés et aurait été développé par un Second-Lieutenant du GROM, Sergeï Polemghov. Ce dernier l'expérimenta durant la Guerre des Frontières contre un droïde valien durant la Seconde Campagne de Lituannia. Il y a peu d'informations sur le sujet, notamment à cause du secret militaire qui entoure cet art martial qui recevra le nom de code "Panzerfaust". Il ne sera pratiqué que par une poignée d'hommes, ayant une maîtrise parfaite du Skeïbian Systema et servant au sein du 2ème Régiment "Alfa", une unité spécialisée dans les actions stratégiques en profondeur et dont l'existence n'a jamais été prouvée.

Arts martiaux Solariens

Lorsque Solaria s'est retrouvé seule, sans contact avec les autres colonies, et qu'elle faisait face aux raid esclavagistes, la noblesse bourgeonnante décida qu'il serait sage d'intégrer l'art du combat dans la société, et depuis ce temps, les duels devinrent légaux, voire même encouragé.

À partir de ce point, plusieurs arts de combat différent se dévellopèrent, le plus impressionnant étant le Kâ-sho, qui utilise deux pistolets et des mouvements hautement acrobatiques pour confondre l'ennemis, atteindre des hauteurs, et avoir des angles de tir totallement innattendu. Les pistolets peuvent aussi être utilisées comme armes brutes, en combat rapproché. Certain accolytes modernes installent de petites électro-lames aux extrémités de leurs armes de poing à cet effet.

Avec le développement technologique, et l'apparition des électro-lames, capables de couper les métaux comme du beurre, on note un retour en force des armes blanches dans la société militaire et la noblesse. Inspirés des haut faits d'armes des époques du moyen âge chinois et japonais, et de leurs arts martiaux, ainsi que des duels de la noblesse de la renaissance, plusieurs disciplines renâissent; tels le Baguazhang, le Kendo, le Iaidōet le Naginata ainsi que les disciplines européennes du sabre et de l'épée.

Dans les rêgles officielles du duel, il est inscrit que chaque duelliste peux utiliser le style de son choix, mais les deux partis doivent convenir du type de duel (rangé ou armes blaches). La noblesse se doit d'apprendre les bases de chaque style, et de se spécialiser dans une en particulier, pour être en mesure de défendre son honneur. Les militaires, quant à eux, limitent l'instruction des arts martiaux pour les situations de combat rapprochés, et découragent fortement l'utilisation d'armes blanches trop encombrantes.


Arts martiaux au sein de l'Empire Krypto-Arkilien

Le développement des arts martiaux au sein de l'Empire Krypto-Arkilien et au sein des États l'ayant précédé est variable en fonction de leur histoire. Peu menacé par une quelconque menace justifiant un développement populaire et autonome des arts martiaux, bénéficiant d'une presque incontestable stabilité intérieure, le Royaume de Kryptonn et le Sultanat d'Ecaz n'ont vu les arts martiaux devenir populaires que lorsque les pays connurent une recrudescence de la petite criminalité. L'on peut toutefois constater sur Ecaz le développement d'une véritable méthode de combat qui s'imposa au nom de Kut. Plusieurs militaires et policiers reprirent la méthode civile et l'améliorèrent, introduisant couteaux à lame courbe et fusils pour les premiers et créant ainsi un véritable système de combat et une forme de philosophie de l'engagement en groupe. Aujourd'hui le Kut militaire et le Kut classique se sont tellement séparés que l'on parle de disciplines distinctes, la première est interdite aux civils...

Arkilia a par contre vu les arts martiaux se développer très rapidement au sein de la société. Tout d'abord sur la planète même en raison de la quasi absence de véritable force de police et l'absence tout court de services publics de l'ordre, les agressions dues à la forte tension sociale, à la frustration latente de la société toute entière et à l'envie généralisée de son voisin favorisèrent le développement d'arts martiaux adaptés au milieu. Deux formes ont subsistées :

a) Le NKK est une discipline introduite par une vague d'immigration thaïlandaise qui s'installa dans les atolls de Durlinor et Sakhabalong. Essentiellement composés de pécheurs, la communauté ayant instaurée une société anonyme afin de pouvoir vivre tranquille et commercer sans devoir subir les affres d'un invasion pernicieuse de la Myrotech du faire les affres des bagarres dans les ports des grandes villes. Le Krabi Krabong fut ressuscité et considérablement moderniser en y incluant l'emploi d'armes blanches ou d'outils pouvant facilement être trouvés à bord de navires de pèches. L'emploi de crochets et de câbles d'acier ainsi que d'autres objets fut intégré ainsi que des gestes permettant de faire face à plusieurs adversaires. Agressif, le NKK à essentiellement pour but de blesser sérieusement afin de pouvoir se dégager d'un mauvais pas. Certaines variantes ont cependant évoluées vers un style pouvant être franchement létal. Le NKK s'est rapidement propagé parmi les communautés des îles au point que certains soldats des troupes de choc de l'armée et plus généralement la police militaire aient intégrées certains mouvement de NKK pour désarmer en silence et à distance un adversaire muni d'une arme.

b) Les villes peu sûres et la croissance de l'influence des criminels organisés et de leurs acolytes entraînèrent le développement d'une variété de styles de combat, entre bandits et entre citadins et bandits. L'ensemble acquis rapidement la notion fourre tout de combat mixte. Mélangeant toutes sortes de techniques, le CM est une discipline complète qui une fois maitrisée permet de se battre dans une large gamme de situations différentes, y compris une fois plaqué au sol. La violence urbaine intégra de nombreuses armes blanches ou de poing et des techniques de parade associées. Le CM se répandit rapidement au sein de la société et sert de terreau au compétitions d'Arena sur Arkilia (elles intègrent également du NKK si l'on admet l'usage d'armes non létales lors des matchs). Le CM incorpore également dans sa technique certains réflexes et gestes d'une discipline sportive apparue au XXième siècle sous le nom de Parkour.

En dehors d'Arkilia mais au sein des territoires contrôlés par la Myrotech ou plutôt administrée par celle-ci, à bord de stations spatiales plus précisément, l'on vit se développer un art martial particulier le NGC (pour No Gravity Combat) afin de permettre de porter et de parer des attaques en gravité zéro. Autrefois pratiqué par des marines de la FSU sous le nom de A-Samoz (Astral-Samoz), le NGC se développa réellement auprès de civils afin de lutter contre les pirates et nomades. Aujourd'hui la discipline a également été reprise par les militaires et spécialement les Sections Spéciales d'Abordge de l'Imperial Navy qui passent pour être LES expertes en la matière et l'ont prouvé à plusieurs reprises. L'usage du NGC s'est également répandu au sein de l'Alganzaar Navy, la flotte solarienne, l'infanterie de Marine de l'Union, des équipages corsaires, pirates et contrebandiers. Clairement destiné à la survie, le NGC n'impose aucune limite de coup ou philosophie particulière de l'esprit. La Majorité des coups sont létaux et l'objectif est de garder sa cohérence dans un environnement incohérent, en trois dimensions. La gestion de sa propre masse et de celle du ou des adversaires est ici impérative...

[A compléter par d'autres si l'inspiration leur vient.]


Arts martiaux au sein de la République Militaire de Vands

La pratique des arts martiaux sur le territoire de Vands vient directement de l’origine de la population de l’ancienne colonie terrienne, la Russie. Au fil du temps, le Sambo est devenue le sport national de la petite République, quasiment toute la population pratique d’ailleurs cet art. Deux disciplines sont largement connu et utilisé dans la république.


Le Vandsian Systema, tout comme le Skeïbian Systema, à évolué avec son époque, ainsi, il se divise aujourd’hui en deux groupes distinct. L’une des disciplines est connue par les régiments militaires, elle est considérée comme le Systema militaire, le Sambo étant une base et le Systema venant terminer le tout. Surtout concentré sur les dégâts létaux avec n’importe qu’elle arme, que se soit une arme blanche, une arme de poing, ou le fusil de l’infanterie. Elle se veut une discipline ou rendre l’adverse inapte, très rapidement, est le but ultime, pour ensuite passer au suivant.

La deuxième version est celle des Forces Spéciales de Vands, jouant beaucoup plus sur la discrétion et le coup unique, à main nue ou avec une arme blanche. Note que cette version est quasiment inconnue, sauf des pratiquants.


Le Sambo à été créé à la suite du Samoz, avec un mélange de Judo et de Lutte, durant l’ère soviétique sur terre. Elle a été inculquée à la population dès le début de la colonie, des militaires, mais aussi des sportifs fessant parti des habitants. Aujourd’hui, cette discipline n’a que peu changer et une grande marge de la population le pratique, autant pour se maintenir en forme que de pouvoir se protéger. La forme sportive à effectivement disparu sur Vands, laissant place à une seule forme qui combine la version de combat et de défense, donnant un art martiale extrêmement équilibré sur l’offensive et la défensive. Le Sambo est devenu le sport national de la République et est inculqué à tous, soit par la famille elle-même ou les cadets/milices, l’armée inculque aussi cette discipline, mais dans une moindre mesure, puisque bien souvent, la recrue connait déjà les techniques.


Dernière édition par Union le Mer 18 Mai - 21:19, édité 10 fois
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Skeïb




Messages : 36
Date d'inscription : 11/10/2009
Localisation : Mazaharpet - Secteur Alpha

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MessageSujet: Re: Arts martiaux modernes   Arts martiaux modernes Icon_minitimeDim 2 Mai - 11:41

Ajout des "Arts martiaux skeïbiens"
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Solaria




Messages : 12
Date d'inscription : 22/03/2010

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MessageSujet: Re: Arts martiaux modernes   Arts martiaux modernes Icon_minitimeDim 2 Mai - 16:38

ajout des "Arts martiaux Solariens"
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EKA

EKA


Messages : 432
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MessageSujet: Re: Arts martiaux modernes   Arts martiaux modernes Icon_minitimeDim 2 Mai - 22:25

Ajout des Arts martiaux au sein de l'Empire Krypto-Arkilien
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Esko

Esko


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MessageSujet: Re: Arts martiaux modernes   Arts martiaux modernes Icon_minitimeDim 13 Mar - 9:11

Ajout des Arts Martiaux au sein de la République Militaire de Vands
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MessageSujet: Re: Arts martiaux modernes   Arts martiaux modernes Icon_minitime

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