En vertu d'une loi dite PTN (Patronyme/Tria Nomina), chaque seranien choisit (et peut changer quand il le veut) d'obéir au système patronymique classique ou bien aux Tria Nomina (système latin modifié).
Habituellement, prendre les Tria Nomina si l'on n'est pas noble, influent politiquement ou riche est vu comme un signe de pédanterie, assez mal considéré.
Le système patronymique est comparable au système européen classique : les parents choisissent un prénom pour leur enfant et celui-ci prend le nom d'un de ses parents (celui de son choix lors de sa majorité, au choix des parents avant, au choix du parent de même sexe que l'enfant en cas de conflit). Il est de plus d'usage d'apposer le patronyme de son époux(se) après le sien comme un nom d'usage. Par exemple, un Jean Dupont ayant épousé une Marie Durand signera Jean Dupont-Durand, tandis qu'elle signera Marie Durand-Dupont.
Les Tria Nomina s'inspirent du système latin, considérablement modifié cependant.
Il se compose d'un praenomen (prénom), d'un nomen (nom) et d'un cognomen (surnom).
Le choix du praenomen appartient aux parents, le nomen est plus ou moins comparable au patronyme en ceci qu'il se transmet des parents aux enfants, mais l'usage veut que les femmes transmettent leur nomen à leurs filles et les homme à leurs fils, même si, dans les très grandes familles, on donne souvent aux enfants le nomen du parent qui a le meilleur statut. Enfin chaque couple à son mariage choisit un cognomen, que leurs enfants portent jusqu'à leur propre mariage où ils en choisiront un autre (ou bien où ils pourront le conserver si leur conjoint accepte de l'adopter).